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Louis Vuitton x Takashi Murakami : explosion pop au Grand Palais

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Sous la nef du Grand Palais, un poulpe géant scintille de toutes ses ventouses : la fantaisie colorée de Takashi Murakami a investi Paris à l’occasion du lancement des Artycapucines VII de Louis Vuitton.

Pour cette septième édition, la Maison offre carte blanche à l’artiste japonais, déjà mythique pour avoir infusé son univers manga-psychédélique dans les Monogram multicolores du début des années 2000. Murakami revient aujourd’hui avec 11 pièces inédites, où le sac Capucines, icône du savoir-faire Vuitton, se métamorphose en œuvre d’art.


Ici, un panda serti de 6 250 cristaux brille comme une broche géante ; là, un arc-en-ciel de vison esquisse un sourire espiègle ; plus loin, un cuir fuchsia se voit happé par des tentacules mouvants, tandis qu’un cabas en denim vert s’orne d’un crâne camouflage. Chaque modèle joue la collision entre haute maroquinerie et pop culture, entre la minutie artisanale de Vuitton et la démesure joyeuse du maître japonais.


Murakami brouille encore les frontières : entre art et commerce, entre Orient et Occident, entre l’objet de collection et l’accessoire de mode. Le résultat ? Une série brillante, ludique, radicalement contemporaine, où le Capucines devient totem et terrain de jeu.


Plus qu’une collaboration, Artycapucines VII célèbre la rencontre du luxe et de l’imaginaire, le triomphe de la fantaisie sur la retenue. Une capsule qui ne se contente pas d’habiller un sac : elle rappelle que, chez Louis Vuitton, la mode est un art – et l’art, une invitation à rêver.

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