Irina Rouge
- yrismagazine
- 10 août
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 1 sept.

Sous un voile de soie crème ondulant entre les troncs, la clairière se fait alcôve secrète. Irina Rouge apparaît d’abord drapée de dentelle noire : créature de minuit, ourlée de mystère, la silhouette découpée par les rayons qui percent le feuillage. À pas feutrés, elle traverse l’ombre comme on traverse un songe, laissant derrière elle le parfum entêtant du jasmin nocturne.
Puis vient l’aube : une avalanche de pivoines, d’hortensias et de roses éclot directement sur sa peau, robe vivante qui palpite au rythme du vent. Les pétales caressent son épaule, retombent en cascade sur ses hanches, s’accrochent aux souliers garnis de rubans mauves. On jurerait entendre le bourdonnement discret d’abeilles imaginaires, ravies par ce jardin ambulant.
La lumière, guidée par l’œil tendre d’@yanalev.pro, glisse sur ces métamorphoses ; la caméra de @kenny.vphotographiste en recueille les soupirs. Au loin, la ville se dresse, incrédule, tandis que le trench immaculé choisi par @sielle.styliste claque comme une page blanche prête à recevoir de nouvelles confidences.
Sur le visage d’Irina, @clairevillardparis dépose un halo rosé, écho aux pétales qu’elle porte ; @gnyhair libère des ondulations pâles qui se mêlent aux corolles, comme si la chevelure elle-même poussait dans ce terreau amoureux. Et dans ce théâtre éphémère orchestré par @jayciaoffice.pr, la fragilité des fleurs devient promesse de force : chaque battement de cils soulève un pétale, chaque souffle écrit un vers.
Ainsi naît « Fleur de Peau », poème visuel où la nature s’enlace au corps, où la dentelle murmure à la rose, et où l’été, brièvement, se fait éternité.
Directeur Artistique @itumbambokolo_
Photographe @yanalev.pro
Vidéaste @kenny.vphotographiste
Productrice Exécutif @jayciaoffice.pr
STYLISTE @sielle.styliste
MUA @clairevillardparis
Hair @gnyhair


























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